mercredi 13 avril 2011
Ces rêves que jamais ne se réalisent.
Ah, ce matin, avait bien commencé, enfin, réveil difficile, (ça risque d'être pareil tout à l'heure avec cette insomnie à la con, mais bon, je crois que c'est bien d'écrire, faut pas que je garde les choses trop longtemps en moi, même si je peux avoir besoin de temps pour les exprimmer), mais parti au boulot avec le sourire. Des idées de vacances plein la tête, des images de coucher de soleil sur la plage à Hossegor, la pensée de gens qui pourraient y être présents, le comptage du nombre de lits disponnibles, auto-demande de la coexistence souhaité/table ou non avec le reste de ma famille, ce fauteuil que j'adore, les soirées d'été où l'on reste discuter dehors pendant des heures... Puis cette question de répartition possible des chambres, qui me laisse dans des abymes de perplexité. Entre des envies, des rêves, et ce coté à me dire bon PY, arrêtes de rêver, de toute façon, rien ne se passe jamais comme dans tes rêves, ces images que tu peux avoir qui te donnent le sourire, qui te remplissent de joie, arrêtes, juste arrêtes d'oser y croire, et du coup la plongée, dans un monde tristesse, de mélancolie. Au moins cette mélancolie ne me plonge plus dans un monde de procrastination, me suis au contraire mis à avancer dans le meilleurs des mondes ce soir. Mais bon.... Puis mon anniversaire ce WE. Eu un coup de fil de Stade Français ce soir qui voulait faire une soirée ce samedi. Une bonne surprise, je dois l'avouer, je ne pensais pas qu'il y penserait. On verra donc quand fêter ça, un soir en semaine. Soirée à l'école ce jeudi, me tâte pour savoir si je vais y aller. Avec le boulot le lendemain... Ptetre y faire un tour puis revenir pas trop tard, ni trop bourré (c'est ça qui risque d'être le plus difficile). Je verrai bien. Mais donc pour ce WE, encore un rêve complètement impensable qui me traverse l'esprit. En même temps, pas si impensable que ça, mais pourquoi donc vient-il dans ma tête. Pourquoi donc me donne-t-il ce putain de sourire? Enfin, si je sais, parce que ça serait juste classe. Ca serait juste trop classe. D'une de ces putain de classe... que quelque part, ça ne peut juste pas arriver. Que je n'ai pas le droit d'y croire, que je ne devrais même pas y penser, que... pfffffff. Pourquoi j'ai des idées pareilles? Je le sais bien pourtant que ça ne devrait même pas me traverser l'esprit. J'aurai du refouler cette idée, dès qu'elle s'est présentée à mon esprit. Me dire de pas l'imaginer, et pourtant, elle est là cette conne. Et je ne sais pas quoi en faire. Déjà normalement, je ne devrais même pas en parler. Ce genre de truc, un PY normalement constitué en fait le deuil, à peine a-t-elle effleuré son esprit. Un PY normalement constitué, se dit juste ouais, c'est cela oui, à moi un truc comme ça ça ne peut juste pas arriver. Mais... Mais putains de changements internes. Pourquoi je me mets à faire confiance à des trucs, à des gens... En plus, le pire, c'est que je me met à faire confiance à des gens qui en sont vraiment dignes. Que ce que je donne m'est vraiment renduu de manière classe. Et c'est comme si du coup, même un truc comme ça qui normalement est viré aussitôt apparu, se met à entrer dans ma tête. Les trucs classes normalement, c'est pas sensé m'arriver, je suis juste sensé y rêver les voir, et les laisser dans leur rêve et faire comme si j'en avais rien à fouttre que ça n'arrive pas... Et maintenant, il y en a tellement qui me sont arrivés en fait que je me mets à en douter. Que c'est même comme si ça pouvait quand même arriver. Les étoiles normalement, je les vois de loin, juste content de pouvoir les voir, juste apaisé par leur existence. D'où est-ce que je pourrai en toucher? Comment se pourrait-il que ça m'arrive à moi aussi des fois? Je ... Je sais juste plus quoi dire, plus quoi croire, plus quoi penser... Le contrôle que j'ai dessus étant aussi limité, voire très limité. Des choses qui ne dépendent a priori pas de moi. Du coup, je ne sais trop quoi en faire. Je crois que je vais juste me rendormir, boulot demain.
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